Ton départ m’a plongé dans une torpeur indicible. Je t’aimais moi. La douleur était tout ce qui m’habitait. Je me suis effondré sur moi-même. Et j’ai pensé au suicide. Mais rapidement, je me suis dit que tu n’en valais pas la peine. Tes mensonges et ton manque de respect à mon égard m’ont convaincu que ce serait stupide de gaspiller ma vie. On peut peut-être s’enlever la vie quand on a perdu quelqu’un de bien, quand on a perdu espoir de remplacer la personne aimable qu’on a connu. Mais à bien y penser, tu es une personne vide et sans valeur, dans les deux sens du terme. Ce que j’ai pleuré après ton départ, c’est ma naïveté. C’est l’illusion de t’avoir connu. C’est cette erreur que j’ai faite de penser que tu étais spéciale. Que tu valais la peine d’être aimée.