Si le chiffre trois n’existait pas, on faudrait dire “un, deux, partez!”, “jamais deux sans deux plus un”. L’expression “c’est deux fois rien” aurait moins de personnalité. Les marionnettes s’en iraient après deux p’tits tours. Les blagues seraient plus courtes car elles ne feraient pas l’inventaire de deux situations régulières pour “puncher” avec la suivante. Mais on pourrait quand même parler de “cheval de Troie” car ça n’a rien avoir avec le chiffre.

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