J’ai une belle plume. Ces paroles pourraient être celles d’un oiseau ou d’un plumeau mais non, elles sont d’un jeune freluquet jugeant ainsi son style d’écriture lui qui, ironiquement, n’écrit qu’à l’ordinateur. Ce jeune paon se gonfle d’orgueil pour sa façon d’emballer la fiction qu’il écrit ignorant encore que ce qui distingue les grands écrivains, c’est la résonnance de leur fiction dans la réalité des lecteurs.

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